Des villes pour les réfugiés : des lieux de productivité économique, de participation et de bien-être

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En mettant l'accent sur l'accueil des réfugiés dans les villes d'Afrique de l'Est et du Moyen-Orient, cet événement du mardi 6 décembre comprendra la première présentation publique des résultats émergents d'une étude novatrice à grande échelle comparant le bien-être des réfugiés, leurs moyens de subsistance et leurs entreprises dans les camps et les zones urbaines.

L'étude "Out of camp or out of site : realigning responses to protracted displacement in an urban world" compare pour la première fois les moyens de subsistance et le bien-être des réfugiés et des personnes déplacées à l'intérieur de leur propre pays dans les camps et dans les zones urbaines.

Le projet a débuté en février 2020 et est financé par UK Aid, l'Agence suisse pour le développement et la coopération, et la fondation Bernard van Leer.

La recherche a recueilli des données qualitatives et quantitatives auprès de quelque 4 500 réfugiés et hôtes en Afghanistan, au Kenya, en Éthiopie et en Jordanie, et a réuni les autorités municipales avec des organisations de réfugiés et des prestataires de services à Jalalabad, Nairobi, Addis-Abeba et Amman.

Des rafraîchissements légers seront servis à partir de 12 h 45.

Intervenants

• Patricia Barandun, Responsable des migrations et des déplacements forcés, Agence suisse pour le développement et la coopération
• Lucy Earle, Directeur, Groupe de recherche sur les établissements humains de l'IIED
• Sam SalibaChef de cabinet, Conseil des maires sur la migration et conseiller technique, "Déplacement prolongé dans un monde urbain".
• Susan Kimani, Département des affaires de la jeunesse, Comté de Nairobi Ville
• Marot Touloung Chadop,  Responsable du programme, Réseau d'action de la jeunesse africaine (Ayan)Kampala

Modéré par Anh Thu DuongCo-directeur, GENEVA CITIES HUB

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